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  • Quelque chose doit craquer Quelque chose doit craquer Quelque chose doit craquer Quelque chose doit craquer Quelque chose doit craquer Quelque chose doit craquer


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  • Rêves d'amourQuand Marilyn divorça en 1946 de Jim Dougherty, elle était une starlette toute excitée de son nouveau succès. Cette première séparation ne fut presque qu'une simple formalité ! Son deuxième divorce, en 1954, fut au contraire vécu dans la plus grande des souffrances : Marilyn aimait Joe qui l'aimait aussi... Même s'il fut officiellement accusé de cruauté mentale par le tribunal ! À dater de ce jour, la star commença à consulter régulièrement psychiatres et analystes. Enfin, lorsque les deux époux Miller divorcèrent en 1961, Marilyn, brisée, sombra dans la plus terrible dépression. Quelques uns de ses proches accusèrent même Arthur Miller d'être indirectement la cause de la mort de la star, en août 1962. Arthur ne revit pas Marilyn après leur divorce et il ne fut pas non plus aux funérailles de la star que Di Maggio, mari de quelques mois mais ami pour toujours, pris en charge : « Je t'aime ma chérie, je t'aime », dit-il embrassant une dernière fois sa Marilyn, désormais en paix...


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  • Rêves d'amourBizarrement, on ne sut jamais vraiment si Marilyn, la star au sex-appeal le plus puissant de notre temps, considérait l'amour physique comme un plaisir. Certains dirent même qu'elle n'aimait pas cela du tout ! Aussi, toutes les aventures et liaisons qu'elle eut furent-elles d'abord pour elle, l'occasion de séduire : ça, elle adorait faire. Clark Gable symbolisa longtemps l'homme idéal pour Marilyn. Elle aimait imaginer que son père lui ressemblait. Durant le tournage des Misfits, on raconte qu'elle lui aurait fait quelques avances sans équivoque que Gable ignora courtoisement et gentiment. On a dit tout et son contraire sur les relations entre Marilyn et les Kennedy : Jackie surnommait son président de mari, Bunny (lapin) du fait des forts besoins sexuels de celui-ci. Pourtant très blessée par les rumeurs circulant sur John et la star, elle eut le cœur de déclarer lors de la mort de celle-ci : «Marilyn Monroe vivra éternellement.» La brève liaison de JFK et Marilyn fut peut-être la plus célèbre du XXe siècle. Son épisode le plus fameux - et le moins discret - étant celui du Madison Square Garden : lors du gala organisé le 19 mai 1962 pour les 45 ans du président, Marilyn fait son entrée fracassante pour lui chanter un mémorable Happy Birthday. Le ton de sa voix ne laissant aucun doute sur la nature de ses sentiments. Montand, lui, montra un certain cynisme face aux sentiments pourtant sincère de Marilyn : il s'en amusa même, avant d'en être excédé. Simone Signoret déclara quant à elle : « Si Marilyn est amoureuse de mon mari, c'est la preuve qu'elle a bon goût. » Parmi les zones d'ombre de la vie de Marilyn, figure en bonne place l'épisode Bob Kennedy. Alors qu'une idylle se dessine avec le Président, Marilyn rencontre en effet à plusieurs reprises son frère cadet, Robert, qui occupe à l'époque la fonction d'Attorney général du gouvernement. Les biographes de la star se déchirent encore sur la nature exacte de leur relation : simples dîners mondains pour les uns, liaison torride pour les autres, qui vont même jusqu'à insinuer que Robert Kennedy serait à l'origine de la mort de Marilyn ! Tous ces hommes s'inscrivirent donc essentiellement dans la quête désespérée d'amour et de reconnaissance qu'elle poursuivit durant toute sa courte vie. Et dans la très longue liste de ses rêves impossibles !


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  • Rêves d'amourAinsi Marilyn et Arthur Miller s'appelaient-ils dans l'infimité... Pour aimer, Marilyn avait aussi besoin d'admirer. Le 1er juillet 1956, un écrivain réputé et une vedette de cinéma tentent de se marier loin des flashes de la presse. La nuisance des médias ne sera pas le moindre des problèmes du troisième mariage de Marilyn. Au départ, la jeune femme est pourtant radieuse : elle admire profondément Arthur Miller, en qui elle voit un talentueux dramaturge, doublé d’un homme capable de se battre pour ses idéaux politiques. Elle était béate devant l'écrivain qui, lui-même, était fasciné par le phénomène artistique que Marilyn incarnait. Une fois qu'il l'eût épousée, il change petit à petit d'avis, et n'hésita pas à raconter sur elle, les pires horreurs : «c'est un monstre narcissique et méchant qui m'a pris mon énergie et vidé de mon talent.» Auprès de lui, Marilyn voulut croire longtemps qu'elle avait enfin trouvé bonheur et équilibre. En devenant madame Miller, elle pensait gagner en respectabilité. Elle se convertit au judaïsme, passa des journées entières à faire le ménage, soutint son mari haut et fort lors de problèmes qu'il connut pour ses positions politiques. Mais cela ne suffit pas. Le désarroi de Marilyn qui, malgré leurs tentatives, ne parvient pas à avoir d’enfant, l’épisode Montand, et finalement le tournage des Désaxés auront finalement raison du couple. En novembre 1960, c’est une femme brisée qui annonce leur rupture à la presse…et le couple divorça en 1961.


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