• Ses citations

    Ses citationsMarilyn Monroe n’était-elle qu’une ravissante idiote ? En écoutant parler l’actrice, on ne peut qu’être convaincu du contraire. Ces quelques extraits d’interviews, de conversations privées et du journal intime de la star brossent le portrait délicat et touchant d’une femme pleine d’esprit et de sensibilité. C’est à travers ses propres mots que vous découvrirez ainsi la vision que Marilyn avait d’elle-même, de la vie, des hommes, de l’amour, du cinéma et d’Hollywood.

  • Ses citationsIl vaut mieux être malheureux seul qu’avec quelqu’un.

    De quoi ai-je peur ? Pourquoi ai-je si peur ? Est-ce que je me crois incapable de jouer ? Je sais que j’en suis capable, mais j’ai peur. J’ai peur, mais je ne devrais pas ; il ne faut pas. {Extrait d’un carnet de notes, 1959}

    On a filmé des essais dans une piscine où j’étais nue. J’espère que le texte qu’ils vont me donner sera aussi déshabillé que moi.

    Être acteur, c’est lutter en permanence. Je suis consciente de mes faiblesses. Je dois lutter de toutes mes forces.

    J’ai l’intention de devenir une merveilleuse - excusez le mot - actrice de composition.

    À la vérité, je ne me suis jamais payé la tête de qui que ce soit. J’ai parfois laissé les hommes se piéger eux-mêmes.

    J’adore faire les trucs que les censeurs refusent de montrer. Pourquoi sommes-nous sur terre après tout ? Pour rester plantés là et passer à côté de tout ?

    C’était une fille qui savait être gaie, même lorsqu’elle était triste. Et ça, c’est important, vous comprenez ? {Évoquant un personnage dans une pièce de théâtre, 1961}

    Je n’ai jamais envie de blesser quelqu’un, mais vous ne pouvez pas être trop gentille avec les gens car ils vous piétineraient à mort !


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  • Ses citationsComme beaucoup de gens je pense être un composé de simplicité et de complexité. Mais je commence à mieux me connaître aujourd’hui. J’ai passé une grande partie de ma vie à me fuir ; à présent, je me regarde comme je suis. Je ne suis pas non plus aussi désespérée que je l’étais. J’ai lu un peu de Freud, et peut-être cela m’a-t-il aidé. En tout cas, je suis plus équilibrée et je vois plus clair en les autres et en moi-même. {Cinémonde n°1244}

    Sous mes robes, je ne porte ni gaine ni soutien-gorge. {Conférence de presse}

    Vous allez donc me voir par la grâce d’Arthur, en personnage dramatique et nuancé. Mais surtout, n’allez pas croire pour cela que je renonce à être une femme gaie, rieuse, joyeuse. En dehors des fatigues parfois écrasantes du métier, je le suis sincèrement ! {Cinémonde n°1369}

    Ce que je mets pour dormir ? Du Chanel n°5 {Lors d‘une conférence de presse}

    Je ne serais jamais une grande artiste, mais, en travaillant, je peux encore espérer en devenir une bonne. {1955}

    Quand on est dans ses bras, on redevient une petite fille. Je suis sûre que les spectateurs ressentent la même chose. {Parlant de Clark Gable}

    Je ne serai satisfaite que le jour où les gens voudront m’entendre chanter sans me voir en même temps.

    Ce que j’aimerais le plus, c’est devenir une vraie comédienne. Mais je me rends de plus en plus compte de la difficulté de la tâche…

    Ma mère ne voulait pas de moi. Je devais beaucoup la gêner, j’ai dû être une véritable honte pour elle.

    Ce dont j’ai le plus besoin au monde, c’est d’aimer et d’être aimée.


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  • Ses citationsUne fois, j’ai demandé pourquoi je devais poser en maillot de bains pour une publicité de dentifrices, et on m’a regardée comme si j’étais tombée sur la tête.

    J’aime être vraiment habillée, ou pas du tout. L’entre-deux ne m’intéresse pas.

    Si je continue à accepter des rôles comme ceux qu’on m’impose, le public va vite se lasser de moi.

    Je ne sais pas qui je suis, mais je suis la blonde.

    Quand j’étais petite et que je rêvais que les gens me regardaient, je me sentais moins seule.

    Je voulais tellement faire bien ce que je faisais, alors que dans ma vie tout allait si mal.

    J’ai très peu réfléchi au sex-appeal. Si je devais y penser, je suis sûre que ça m’effraierait.

    Notre mariage était une sorte d’amitié cinglée et difficile, avec quelques avantages sexuels. Plus tard, j’ai su que c’était le lot commun de la plupart des mariages. {Parlant de son union avec Joe Di Maggio}

    Dans ce film, je m’appelle Sugar Kane : c’est l’histoire de ma vie. Je tombe en effet toujours sur le bâton de la sucette. {Parlant de son rôle dans Certains l‘aiment chaud}

    Longtemps j’ai eu peur de m’apercevoir que je ressemblais à ma mère et que je finirais comme elle dans un asile de fous. Quand je déprime, je me demande si je vais craquer, comme elle. Mais j’espère devenir plus forte.


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