• Glamour girlFidèle à son image de femme sophistiquée, Marilyn adorait porter de coûteux parfums français. Elle avait ainsi un faible pour Arpège de Lanvin et Joy de Patou : elle adorait ce célèbre parfum. « Le parfum le plus cher du monde », ainsi qu’il fut présenté lors de son lancement. Que la star ait pu aimer laisser derrière elle de si sublimes effluves n’empêcha pas Yanne Fagnen, journaliste, d’écrire (dans la revue Autrement) : « Plus que toute autre senteur, Marilyn semble faire naître pour beaucoup des odeurs de pâtisserie (…), la sensation d’être environné de choux à la crème et de volutes vanillés. » Mais son parfum fétiche était évidemment le N°5 de Chanel dont elle fut certainement l’une des meilleures ambassadrices : à un journaliste indiscret qui lui demanda un jour ce qu’elle portait pour dormir, elle répondit qu’elle se contentait de quelques gouttes du célèbres parfum.


    votre commentaire
  • Glamour girlMarilyn dépensait sans compter. Longtemps privée du minimum, elle compensa ces privations dès qu’elle gagna un peu d’argent comme modèle, achetant principalement vêtements, produits de beauté, livres et disques. Généreuse, elle aida aussi beaucoup de gens autour d’elle. Mariée à Arthur Miller, c’est elle qui faisait vivre le ménage. Et non, les diamants et les bijoux n’étaient pas les meilleurs amis de Marilyn… Selon elle «ils détournaient l’attention des gens». On rapporte en revanche qu’à dater de 1960, elle ne quitta plus un certain petit collier d’ambre dont personne ne sut jamais rien.


    votre commentaire
  • Glamour girlMais, en digne star d'Hollywood, Marilyn ne limite pas le glamour à son apparence physique : tout dans son environnement obéit au même luxe. Lorsqu'elle n'habite pas une villa à Beverly Hills, la star réside dans un de ces hôtels dont le simple nom fait rêver : le Waldorf-Astoria à New York, le Château-Marmont à Los Angeles, le Fontainebleau à Miami... Alors qu'elle a fuit tout à la fois Los Angeles et ses engagements à la Fox, Marilyn s'installe en avril 1955 dans le célèbre palace situé sur Park Avenue, à New York. Elle y occupe une suite de trois pièces perchée au vingt-sixièmes étage, dans laquelle trône un portrait d'Abraham Lincoln et un autre d'Albert Einstein. Compte tenu du loyer faramineux, la star devra déménager au bout de quelques mois, mais elle aura l'occasion d'y revenir, puisque c'est dans les salons du Waldorf que sera organisé le gala de première du film Le Prince et la danseuse. Marilyn aimait vivre à l’hôtel. Elle y passa beaucoup de temps comme tout acteur fortement sollicité. Aujourd’hui, certaines chaînes américaines d’hôtels ont même créé des suites Marilyn Monroe, comme celle de la chaîne d’hôtels thermales El Palacia, avec sa suite Rose Marilyn. Il faut la louer longtemps, très longtemps d’avance ! Pourtant, Marilyn n’y séjourna même pas. Son nom seul suffit encore à provoquer, de nos jours, toutes sortes de rêves. Marilyn adorait dîner au Villa Nova, un restaurant italien situé au 9015 du mythique Sunset Boulevard. Ce repère du tout-Hollywood vit notamment Vincente Minnelli demander la main de Judy Garland, et c'est là également qu'au printemps 1952, Marilyn et Joe Di Maggio se donnèrent leur premier rendez-vous. Marilyn ne dédaignait pas non plus les voitures de luxe, conduisant successivement un cabriolet Ford, une Cadillac ou une Jaguar - quand elle ne louait pas une somptueuse limousine avec chauffeur. Même ses animaux de compagnie s'avéraient du dernier chic, qu'il s'agisse du chihuahua offert par le patron de la Columbia ou de Maf Honey, le caniche blanc qui dispose de sa propre chambre et dort sur un vieux manteau de fourrure. La star, très proche des animaux qu‘elle adorait (sauf les pigeons !), s’en sentait comprise et aimée. Elle refusa donc longtemps de manger viande et poisson. Elle détestait l’écrivain Hemingway qui glorifiait les corridas. Elle ne rechigna pourtant jamais à porter visons et zibelines… Cet attachement remonte à son enfance, et chaque période important de la vie de l’actrice est marquée d’une histoire d’amour avec un chien ou un chat. Elle les nourrissait au foie de veau, les faisait dormir dans ses fourrures, et s’attirait les foudres de ses proches parce qu’elle ne les dressait pas et les emmenait pour avec elle. De nombreuses anecdotes illustrent la relation qu’elle entretenait avec Hugo, le basset qu’elle possédait avec Arthur Miller : Marilyn donna un jour un peu de gin à Hugo parce qu’elle le trouvait déprimé ! Elle alla jusqu’à dire : « Les chiens ne m’ont jamais mordue. Les êtres humains, si ! » Mais la touche ultime qui distingue définitivement Marilyn de toutes les divas du cinéma américain, c'est sa passion pour le Chanel n°5. Un parfum dont elle versait, selon la légende, des litres entiers dans son bain, afin de s'y engloutir totalement.


    votre commentaire
  • Glamour girlL’admiration que Marilyn suscitait allait bien au-delà du phénomène de sex-symbol. Ainsi que le dit l’un de ses biographes, Maurice Zolotow, « Marilyn exerçait une emprise mystique sur le public, et même sur les gens qui n’avaient jamais vu aucun de ses films. » Ce qui touchait infiniment les amoureux et admirateurs de Marilyn, c’était ce permanent besoin de caresse, de douceur, de protection qui émanait d’elle. Elle ne s’habillait pas d’un manteau : elle s’y lovait, s’y cachait. Sur toutes ses photos, sa volupté n’est pas simplement celle d’une femme terriblement sexy, mais elle est une sorte d’appel à l’amour et à la tendresse. Un aveu de vulnérabilité que nous faisait Marilyn ! Une confidence silencieuse à travers l’objectif ! L’émotion qu’elle laissait paraître et sa sensualité naturelle, toutes deux réunies, rehaussaient évidemment l’éclat de sa beauté. Une façon de séduire qu’aucun autre sex-symbol ne put même imiter !


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique